Hey hey,
Longue journée ce fut. Lever à 7 h 30, et job jusqu'à 2 h 30. Révision d'une traduction, en fait. Une traduction nulle à chier. Tellement que j'ai envoyé un e-mail au chef du projet lui disant que c'est peine perdue. C'est tout simplement trop mauvais, faudrait tout réécrire. Ah, et ils ont besoin de perdre l'adresse e-mail de ce traducteur-là hier. Ouach yark beurk.
Ensuite, on est retourné se percher dans l'escabeau pour enlever les toiles d'araignée des derniers coins de plafond. Maintenant, ça a de l'allure, je pense. Ensuite, qu'a-t'on fait?
Cliquez ici.
Et ensuite, ici.
Souper bien pénard (poulet cuit sur la broche, à même le nouveau four/grille-pain, menoum), et soirée tranquille aussi. Pas de grosse promenade pour moi aujourd'hui. Sûrement demain, je m'attends à avoir la bougeotte.
Beuh-bye!
dimanche 14 septembre 2008
samedi 13 septembre 2008
Job et... marionnettes?
Hey hey,
Drôle de samedi. Je me suis levé à 8 h 20 (Stef un peu plus tard) pour... eh oui, travailler. J'en ai eu jusqu'à 2 h environ. Pendant ce temps, Stef est allée faire des commissions (épicerie), s'est perdue, m'a appelé pour être sûre que j'enverrais pas la police à sa recherche, a fini par revenir, est retournée faire des commissions (?) (épicerie #2). Ensuite, nous sommes allés faire des commissions (!?!) (antenne FM pour le radio dans la cuisine et fil S-vidéo pour écouter des films sur la TV). Après cela, retour au bercail, et moi je suis parti de mon côté à la porte de Brandenbourg aller me chercher des cartes gratuites (souvenez-vous, j'avais donné la mienne au touriste perdu hier) -- Stef est restée ici, question de concocter une pizza (qui s'est révélée imbattable).
Sur cette carte, A représente la porte de Brandenbourg, B Potsdamer Platz, C Checkpoint Charlie, D la place Gendarmenmarkt et E la Berliner Dom (cathédrale). C'est un coin très intéressant et qui vaut le détour, malgré tous les maudits touristes qui y pullulent.
J'arrive donc par la station de métro Potsdamer Platz, et je remonte la Ebertstrasse jusqu'à la porte. Allez-retour express au Starbucks, je prends quelques cartes, merci bonsoir. Je ressors, et...
... d'abord, une parenthèse. La Pariser Platz (où se trouve la porte) grouille de musiciens ambulants, de guides touristiques -- c'est le point de rencontre par excellence -- de vendeurs de toute sorte, de mimes (putain de mimes!), etc. 99,99 % du temps, je les ignore. Fin de la parenthèse.
... donc, je ressors, et je vois une petite gang qui faisaient enfin quelque chose d'original.

Donc, cette bande de joyeux drilles manipulaient une marionnette grandeur nature, et ses mouvements étaient étonamment fluides! Elle serrait les mains, "discutait" avec les gens. Je précise que, malgré leur peinture dans la face, je les qualifierais plus de marionnettistes que de mimes (mais de peu!), donc j'approuve.

J'ai bien failli me rendre droit vers elle, et lui serrer la main tout en prenant une photo avec l'autre. La marionnette a l'air un peu sinistre, probablement qu'elle m'aurait volé mon âme si nos regards s'étaient croisés. Ou je me serais transformé en pierre. Elle serait probablement aussi venue m'étrangler dans mon sommeil par la suite. Hmm, j'ai peut-être bien fait de rester à l'écart.
Ensuite, détour à l'épicerie (ça et le IKEA, faut croire qu'on est attirés par ces places-là), souper à la pizza (menoum), et ensuite film (le remake de Death Race 2000). Meh, c'était pas une merde totale, mais ça aurait pu être mieux. Ça passe le temps, disons.
Demain... lever très tôt, job job job, ménage, et ensuite -- sauf imprévu -- photos de l'appart. Restez à l'écoute.
Beuh-bye!
Drôle de samedi. Je me suis levé à 8 h 20 (Stef un peu plus tard) pour... eh oui, travailler. J'en ai eu jusqu'à 2 h environ. Pendant ce temps, Stef est allée faire des commissions (épicerie), s'est perdue, m'a appelé pour être sûre que j'enverrais pas la police à sa recherche, a fini par revenir, est retournée faire des commissions (?) (épicerie #2). Ensuite, nous sommes allés faire des commissions (!?!) (antenne FM pour le radio dans la cuisine et fil S-vidéo pour écouter des films sur la TV). Après cela, retour au bercail, et moi je suis parti de mon côté à la porte de Brandenbourg aller me chercher des cartes gratuites (souvenez-vous, j'avais donné la mienne au touriste perdu hier) -- Stef est restée ici, question de concocter une pizza (qui s'est révélée imbattable).
Sur cette carte, A représente la porte de Brandenbourg, B Potsdamer Platz, C Checkpoint Charlie, D la place Gendarmenmarkt et E la Berliner Dom (cathédrale). C'est un coin très intéressant et qui vaut le détour, malgré tous les maudits touristes qui y pullulent.
J'arrive donc par la station de métro Potsdamer Platz, et je remonte la Ebertstrasse jusqu'à la porte. Allez-retour express au Starbucks, je prends quelques cartes, merci bonsoir. Je ressors, et...
... d'abord, une parenthèse. La Pariser Platz (où se trouve la porte) grouille de musiciens ambulants, de guides touristiques -- c'est le point de rencontre par excellence -- de vendeurs de toute sorte, de mimes (putain de mimes!), etc. 99,99 % du temps, je les ignore. Fin de la parenthèse.
... donc, je ressors, et je vois une petite gang qui faisaient enfin quelque chose d'original.
Donc, cette bande de joyeux drilles manipulaient une marionnette grandeur nature, et ses mouvements étaient étonamment fluides! Elle serrait les mains, "discutait" avec les gens. Je précise que, malgré leur peinture dans la face, je les qualifierais plus de marionnettistes que de mimes (mais de peu!), donc j'approuve.
J'ai bien failli me rendre droit vers elle, et lui serrer la main tout en prenant une photo avec l'autre. La marionnette a l'air un peu sinistre, probablement qu'elle m'aurait volé mon âme si nos regards s'étaient croisés. Ou je me serais transformé en pierre. Elle serait probablement aussi venue m'étrangler dans mon sommeil par la suite. Hmm, j'ai peut-être bien fait de rester à l'écart.
Ensuite, détour à l'épicerie (ça et le IKEA, faut croire qu'on est attirés par ces places-là), souper à la pizza (menoum), et ensuite film (le remake de Death Race 2000). Meh, c'était pas une merde totale, mais ça aurait pu être mieux. Ça passe le temps, disons.
Demain... lever très tôt, job job job, ménage, et ensuite -- sauf imprévu -- photos de l'appart. Restez à l'écoute.
Beuh-bye!
vendredi 12 septembre 2008
IKEA, est-ce que ça veut dire "aimant" en suédois?
Hey hey,
Devinez où on est retournés aujourd'hui? Eh oui! Je me disais que ça donnerait rien d'attendre avant d'acheter ce qu'il reste (fauteuil et surmatelas), alors aussi bien régler le problème illico.
Au moins, ce fut une journée particulièrement productive. J'ai réussi à me lever de bonne heure, question d'aller prendre une bonne marche et faire une ou deux commissions. J'ai été virailler jusqu'au REWE (mon épicerie de prédilection l'an dernier), et ensuite hop, retour au bercail.
À quelques coins de rue de l'appart, un type m'interpelle en anglais. Il cherche la rue Motzstrasse. Ah ben, c'est justement vers là que je vais, suis-moi donc! On placote un peu en chemin. C'est un voyageur de grand chemin. Il venait de faire l'Espagne et le Portugal, maintenant il reste 2 semaines à Berlin, ensuite Rome et retour à Londres. OK, à quelle adresse sur la rue Motzstrasse maintenant? Voyez-vous, elle traverse la Viktoria-Luise-Platz, et pour quelqu'un qui le sait pas, ça peut être compliqué. "Je n'ai rien de précis en tête, je cherche simplement une pension ou un petit hôtel dans le quartier gai". Ah-ha! Ça ne me surprend pas vraiment, il a vaguement la tête de l'emploi. D'ailleurs, il ressemble comme deux gouttes d'eau au journaliste financier Dietmar Deffner, du canal de nouvelles N24. Je lui indique le segment de rue près de la station Nollendorfplatz, que j'avais traversée l'autre jour. Hmm, il a une carte, mais elle est pas terrible. Je lui donne donc la mienne -- elles sont gratuites de toute façon, au Starbucks à côté de la Porte de Brandenbourg. Une excuse pour retourner dans le coin. Il se confond en remerciements, et je lui souhaite un bon séjour à Berlin (je ne suis pas très inquiet pour lui). Chic type, très poli.
OK, maintenant que ma B.A. est faite, c'est le temps de tourmenter Stef :-D
On part vers le IKEA!

Action shot à bord de l'autobus!

Ça, croyez-le ou non, c'est une publicité. Dans le parking du IKEA! Le collant jaune, sur le coffre arrière, c'est une publicité pour une presse hydraulique d'autos, les gros compacteurs. Assez inventif comme annonce, mais je sais pas comment ils ont fait pour convaincre IKEA de les laisser se stationner là!
On ressort donc, encore une fois bien chargés. Cette fois-ci, la température fraîche aide un peu, et c'est moins pénible que les autres fois. Stef est enchantée des résultats. Yay!
On est sur une lancée, et on décide d'attaquer les rideaux. Ils sont plus que dûs pour un lavage. Sauf que... les plafonds ici sont vraiment très hauts (au moins 12 pieds), et les rideaux sont accrochés solides! Ma liste d'activités ici est très longue, mais me casser le cou n'y figure pas, donc on laisse faire. On inonde les rideaux de Febreeze, et puis coudonc. Autre problème réglé : le rideau de douche. La maudite pôle était trop au-dessus du bain, suffisait de l'éloigner pour régler le problème. Les Débrouillards 50 au travail!
Ensuite, nous sommes allés dîner à un petit resto semi-mexicain, semi-californien près d'ici. Très bon, en fait.

Heyyyyy!
Ensuite, eh bien je me suis fait inonder de jobs, hourra! En plein dans la journée où je me lève tôt, rien de moins! Et j'en ai pour la fin de semaine aussi... En tout cas, je devrais quand même être bon pour mettre le nez dehors quand même, en espérant avoir quelque chose à raconter.
Demain, job, et ensuite détour au Saturn aller acheter une antenne FM et un fil de sortie S-vidéo. On va essayer de regarder les films de l'ordinateur sur la TV. Ah oui, semi-ménage aussi. On a des photos de l'appart à prendre, ho ho ho!
Beuh-bye!
Devinez où on est retournés aujourd'hui? Eh oui! Je me disais que ça donnerait rien d'attendre avant d'acheter ce qu'il reste (fauteuil et surmatelas), alors aussi bien régler le problème illico.
Au moins, ce fut une journée particulièrement productive. J'ai réussi à me lever de bonne heure, question d'aller prendre une bonne marche et faire une ou deux commissions. J'ai été virailler jusqu'au REWE (mon épicerie de prédilection l'an dernier), et ensuite hop, retour au bercail.
À quelques coins de rue de l'appart, un type m'interpelle en anglais. Il cherche la rue Motzstrasse. Ah ben, c'est justement vers là que je vais, suis-moi donc! On placote un peu en chemin. C'est un voyageur de grand chemin. Il venait de faire l'Espagne et le Portugal, maintenant il reste 2 semaines à Berlin, ensuite Rome et retour à Londres. OK, à quelle adresse sur la rue Motzstrasse maintenant? Voyez-vous, elle traverse la Viktoria-Luise-Platz, et pour quelqu'un qui le sait pas, ça peut être compliqué. "Je n'ai rien de précis en tête, je cherche simplement une pension ou un petit hôtel dans le quartier gai". Ah-ha! Ça ne me surprend pas vraiment, il a vaguement la tête de l'emploi. D'ailleurs, il ressemble comme deux gouttes d'eau au journaliste financier Dietmar Deffner, du canal de nouvelles N24. Je lui indique le segment de rue près de la station Nollendorfplatz, que j'avais traversée l'autre jour. Hmm, il a une carte, mais elle est pas terrible. Je lui donne donc la mienne -- elles sont gratuites de toute façon, au Starbucks à côté de la Porte de Brandenbourg. Une excuse pour retourner dans le coin. Il se confond en remerciements, et je lui souhaite un bon séjour à Berlin (je ne suis pas très inquiet pour lui). Chic type, très poli.
OK, maintenant que ma B.A. est faite, c'est le temps de tourmenter Stef :-D
On part vers le IKEA!
Action shot à bord de l'autobus!
Ça, croyez-le ou non, c'est une publicité. Dans le parking du IKEA! Le collant jaune, sur le coffre arrière, c'est une publicité pour une presse hydraulique d'autos, les gros compacteurs. Assez inventif comme annonce, mais je sais pas comment ils ont fait pour convaincre IKEA de les laisser se stationner là!
On ressort donc, encore une fois bien chargés. Cette fois-ci, la température fraîche aide un peu, et c'est moins pénible que les autres fois. Stef est enchantée des résultats. Yay!
On est sur une lancée, et on décide d'attaquer les rideaux. Ils sont plus que dûs pour un lavage. Sauf que... les plafonds ici sont vraiment très hauts (au moins 12 pieds), et les rideaux sont accrochés solides! Ma liste d'activités ici est très longue, mais me casser le cou n'y figure pas, donc on laisse faire. On inonde les rideaux de Febreeze, et puis coudonc. Autre problème réglé : le rideau de douche. La maudite pôle était trop au-dessus du bain, suffisait de l'éloigner pour régler le problème. Les Débrouillards 50 au travail!
Ensuite, nous sommes allés dîner à un petit resto semi-mexicain, semi-californien près d'ici. Très bon, en fait.
Heyyyyy!
Ensuite, eh bien je me suis fait inonder de jobs, hourra! En plein dans la journée où je me lève tôt, rien de moins! Et j'en ai pour la fin de semaine aussi... En tout cas, je devrais quand même être bon pour mettre le nez dehors quand même, en espérant avoir quelque chose à raconter.
Demain, job, et ensuite détour au Saturn aller acheter une antenne FM et un fil de sortie S-vidéo. On va essayer de regarder les films de l'ordinateur sur la TV. Ah oui, semi-ménage aussi. On a des photos de l'appart à prendre, ho ho ho!
Beuh-bye!
jeudi 11 septembre 2008
On pense et on dépense!
Hey hey,
Comme je vous l'avais dit hier, certains problèmes se règlent d'eux-mêmes, à condition d'y jeter assez d'argent.
On s'aligne donc pour aller au IKEA vers midi. Les choses se déroulent plutôt bien, mais on semble avoir le don d'acheter un paquet d'affaires qui ne sont pas sur notre liste -- au moins on n'est pas complètement incompétents : on s'en est fait une! -- et de se ramasser chargés comme des mules. À pied, n'oubliez pas que c'est une autre paire de manches!
Avant le IKEA, on fait un détour au Bauhaus, tout juste à côté. (Non, pas ce Bauhaus-là. Celui-ci.) C'est énorme! On a trouvé ce qu'on voulait -- des gogosses (c'est bel et bien le terme technique) pour empêcher le rideau de douche de me coller après. Mission accomplie, on sacrions notre camp, traversions le parking et entrions chez IKEA.

Heyyyyyyy!

Vous auriez le même air haïssable si vous saviez que vous étiez pour dépenser l'argent à votre chum, haha!
Ah, et juste pour ajouter à l'ironie, on y a vu un chariot à commissions. 10 euros, soit la moitié moins cher que le sac à dos qu'on a acheté. Shiiiiiit. Ça aurait pu être bien pire, on aurait pu acheter le chariot à 75 euros du Wertheim (faut avouer qu'il était écoeurant, mais à quoi bon s'acheter un chariot king si on n'a plus d'argent pour le remplir?).
Un set de vaisselle (Stef est dédaigneuse quant à la vaisselle, haha), du savon IKEA (?), du rince-bouche IKEA (!?), un super-gros parapluie IKEA (!!?), des sous-verres, une housse à coussin, une "doudou" et quelques autres patentes plus tard, on finit par revenir ici. Le ?&%"?&*! de set de vaisselle va chercher dans le pesant, disons. J'avoue qu'il a belle allure, et que c'est une grande amélioration. (Je gagnerais peut-être à être dédaigneux de temps en temps.)
On n'a pas encore fini, par contre! Reste le four/grille-pain au Wertheim. On repart donc engraisser les coffres de l'économie allemande. Il est un peu moins pesant que le set de vaisselle, donc je survis.
Naturellement, une tonne de jobs m'attendait à mon retour. Ça, c'est plus chiant que n'importe quel voyage chez IKEA!
Dans le département Patentes-qui-restent-à-acheter-et-à-charroyer, il reste un fauteuil Poang et un surmatelas, tous deux 10 kg environ, et tous deux chez IKEA. Heh, moi qui pensais être débarrassé du charriage de boîtes après le déménagement. WRONG! Mais bon, j'ai traîné Stef ici, donc c'est la moindre des choses de lui faciliter la vie un peu. On saigne de l'argent de partout depuis notre arrivée, mais les choses devraient se stabiliser une fois ces deux achats faits.
(...)
Je me relis, et j'ai bien dû utiliser le mot "argent" une dizaine de fois. Comprenez-moi, je veux pas donner l'impression de me plaindre! J'avais pas prévu tous ces achats, donc leur impact est accru. C'est pas un problème comme tel (sinon, je ne serais pas venu ici pour si longtemps), mais c'est chiant.
Cela dit, MAUDIT que j'haïs parler d'argent.
Anyway, demain... vendredi! Probablement... eh oui, quelques commissions! Ailleurs que chez IKEA, par contre.
Ah oui, nous sommes le 11 septembre. Bizarre quand même, pas un seul mot ici sur les événements de 2001. Levons notre verre à une autre année de silence.
Beuh-bye!
Comme je vous l'avais dit hier, certains problèmes se règlent d'eux-mêmes, à condition d'y jeter assez d'argent.
On s'aligne donc pour aller au IKEA vers midi. Les choses se déroulent plutôt bien, mais on semble avoir le don d'acheter un paquet d'affaires qui ne sont pas sur notre liste -- au moins on n'est pas complètement incompétents : on s'en est fait une! -- et de se ramasser chargés comme des mules. À pied, n'oubliez pas que c'est une autre paire de manches!
Avant le IKEA, on fait un détour au Bauhaus, tout juste à côté. (Non, pas ce Bauhaus-là. Celui-ci.) C'est énorme! On a trouvé ce qu'on voulait -- des gogosses (c'est bel et bien le terme technique) pour empêcher le rideau de douche de me coller après. Mission accomplie, on sacrions notre camp, traversions le parking et entrions chez IKEA.
Heyyyyyyy!
Vous auriez le même air haïssable si vous saviez que vous étiez pour dépenser l'argent à votre chum, haha!
Ah, et juste pour ajouter à l'ironie, on y a vu un chariot à commissions. 10 euros, soit la moitié moins cher que le sac à dos qu'on a acheté. Shiiiiiit. Ça aurait pu être bien pire, on aurait pu acheter le chariot à 75 euros du Wertheim (faut avouer qu'il était écoeurant, mais à quoi bon s'acheter un chariot king si on n'a plus d'argent pour le remplir?).
Un set de vaisselle (Stef est dédaigneuse quant à la vaisselle, haha), du savon IKEA (?), du rince-bouche IKEA (!?), un super-gros parapluie IKEA (!!?), des sous-verres, une housse à coussin, une "doudou" et quelques autres patentes plus tard, on finit par revenir ici. Le ?&%"?&*! de set de vaisselle va chercher dans le pesant, disons. J'avoue qu'il a belle allure, et que c'est une grande amélioration. (Je gagnerais peut-être à être dédaigneux de temps en temps.)
On n'a pas encore fini, par contre! Reste le four/grille-pain au Wertheim. On repart donc engraisser les coffres de l'économie allemande. Il est un peu moins pesant que le set de vaisselle, donc je survis.
Naturellement, une tonne de jobs m'attendait à mon retour. Ça, c'est plus chiant que n'importe quel voyage chez IKEA!
Dans le département Patentes-qui-restent-à-acheter-et-à-charroyer, il reste un fauteuil Poang et un surmatelas, tous deux 10 kg environ, et tous deux chez IKEA. Heh, moi qui pensais être débarrassé du charriage de boîtes après le déménagement. WRONG! Mais bon, j'ai traîné Stef ici, donc c'est la moindre des choses de lui faciliter la vie un peu. On saigne de l'argent de partout depuis notre arrivée, mais les choses devraient se stabiliser une fois ces deux achats faits.
(...)
Je me relis, et j'ai bien dû utiliser le mot "argent" une dizaine de fois. Comprenez-moi, je veux pas donner l'impression de me plaindre! J'avais pas prévu tous ces achats, donc leur impact est accru. C'est pas un problème comme tel (sinon, je ne serais pas venu ici pour si longtemps), mais c'est chiant.
Cela dit, MAUDIT que j'haïs parler d'argent.
Anyway, demain... vendredi! Probablement... eh oui, quelques commissions! Ailleurs que chez IKEA, par contre.
Ah oui, nous sommes le 11 septembre. Bizarre quand même, pas un seul mot ici sur les événements de 2001. Levons notre verre à une autre année de silence.
Beuh-bye!
mercredi 10 septembre 2008
Petite pensée pour Gaetan
Je viens d'apprendre une bien triste nouvelle. Ginette (notre costumiere des rock'n'nonnes) nous a quittée bien vite
je voulais juste offrir mes condoléances aux personnes concernées et vous dire que mes pensées sont avec vous même si je suis loin.
alors , au revoir Ginette ''la costumière''
on t' aimais beaucoup
je voulais juste offrir mes condoléances aux personnes concernées et vous dire que mes pensées sont avec vous même si je suis loin.
alors , au revoir Ginette ''la costumière''
on t' aimais beaucoup
On magasine!
Hey hey,
Hier soir avant de se coucher, Stef et moi on avait une petite baisse de moral. On s'est mis à énumérer les petits détails qui nous énervaient à propos de l'appart. Quant à moi : les planchers qui craquent, le robinet capricieux de la salle de bains, le rideau de douche qui me colle après, le chauffage qu'on sait pas encore comment utiliser, le toaster qui emprisonne les tranches moindrement épaisses. Stef ajoute : le maudit four à gaz sans commande de température (juste d'intensité -- de 1 à 8. À nous de deviner si 7 équivaut à 375 ou 425 degrés. Du fun pour toute la famille!) et la laveuse aux commandes incroyablement cryptiques. Bon, OK. Le plancher, on peut rien y faire. Le robinet, le chauffage et la laveuse, on peut toujours demander au sympathique concierge de nous expliquer/arranger ça. Le rideau de douche, meh on trouvera bien quelque chose. Reste le toaster et le four à gaz.
Dans certaines situations, en cas de problème, suffit d'y jeter suffisamment d'argent pour qu'il se règle de lui-même. BANG, on va donc se pogner un four/grille-pain.
(Parenthèse : On recule un peu plus plus, jusqu'à hier soir. J'avais une job à faire, une assez grosse révision sur PDF. Trois heures plus tard, j'ai enfin fini, j'arrive pour tout sauvegarder. (...) Vous l'avez deviné, Acrobat plante. Trois heures aux chiottes. J'ai donc dû tout refaire ce matin. C'est pour ça que je suis pas allé magasiner les fours/grille-pain ce matin. On aurait pu tout régler aujourd'hui. FUCK YOU, ACROBAT! Au moins j'ai réinstallé ça comme il faut, et il ne me fera plus le même coup.)
Pendant que je rattrapais le temps perdu ce matin, Stef faisait ses mèches. Charmant tableau, je vous assure! Au moins le résultat est très bien.
Début d'après-midi. Stef prend une pilule contre les allergies et s'endort presque immédiatement. J'en profite pour aller prendre une marche, recharger mon crédit de téléphone cellulaire (tous mes tests et déconnages m'ont coûté mon 10 euros de crédit d'origine, oops) et magasiner les fours/grille-pains.
Le cellulaire s'est bien passé, et tout en allemand! La fille du magasin était la même à qui j'avais demandé l'autre fois si elle parlait français ou anglais -- et qui m'avait référé à un autre commis sur-le-champ. C'est peut-être pour ça que j'étais un peu surpris que tout se soit si bien passé. Chose certaine, finis les déconnages sur le cellulaire, ça coûte trop cher!
Four/grille-pain maintenant. Ya un magasin d'électroménagers juste à côté du Wertheim, du nom de Quelle ("source"). J'en vois un cheapo à 20 euros, un potable à 70 euros, un pas pire à 110 et un super king à 140 euros. Le 70 semble OK. Je vais voir au Wertheim, juste pour le fun.
Ho ho, qu'avons-nous là?

Le modèle à 70 euros, réduit à 50! Les coquins du Wertheim avaient le prix original à 80 euros, par contre. Tsk tsk!
Satisfait de mon boulot d'éclaireur, je rentre au bercail, et je m'emmerde dans la job depuis ce temps-là. Vous avez un autre roman aujourd'hui, donc pas besoin de vous demander si la job est palpitante!
On va donc essayer d'aller au IKEA demain (ya quelques magasins de meubles et rénos à côté, question de compléter ce que IKEA n'offre pas, je suppose). Si ya rien de bon, on va jeter notre dévolu sur celui que vous voyez ici.
Pas de péripéties rocambolesques aujourd'hui, désolé. Et un très mince prétexte pour ajouter une photo, je l'avoue, haha.
P.S.: Shit, je viens d'y repenser. On avait promis des photos de l'appart. OK, la job recommence à me tomber dessus, donc une prévision réaliste serait quelque part en fin de semaine. Patience, ça s'en vient!
Beuh-bye!
Hier soir avant de se coucher, Stef et moi on avait une petite baisse de moral. On s'est mis à énumérer les petits détails qui nous énervaient à propos de l'appart. Quant à moi : les planchers qui craquent, le robinet capricieux de la salle de bains, le rideau de douche qui me colle après, le chauffage qu'on sait pas encore comment utiliser, le toaster qui emprisonne les tranches moindrement épaisses. Stef ajoute : le maudit four à gaz sans commande de température (juste d'intensité -- de 1 à 8. À nous de deviner si 7 équivaut à 375 ou 425 degrés. Du fun pour toute la famille!) et la laveuse aux commandes incroyablement cryptiques. Bon, OK. Le plancher, on peut rien y faire. Le robinet, le chauffage et la laveuse, on peut toujours demander au sympathique concierge de nous expliquer/arranger ça. Le rideau de douche, meh on trouvera bien quelque chose. Reste le toaster et le four à gaz.
Dans certaines situations, en cas de problème, suffit d'y jeter suffisamment d'argent pour qu'il se règle de lui-même. BANG, on va donc se pogner un four/grille-pain.
(Parenthèse : On recule un peu plus plus, jusqu'à hier soir. J'avais une job à faire, une assez grosse révision sur PDF. Trois heures plus tard, j'ai enfin fini, j'arrive pour tout sauvegarder. (...) Vous l'avez deviné, Acrobat plante. Trois heures aux chiottes. J'ai donc dû tout refaire ce matin. C'est pour ça que je suis pas allé magasiner les fours/grille-pain ce matin. On aurait pu tout régler aujourd'hui. FUCK YOU, ACROBAT! Au moins j'ai réinstallé ça comme il faut, et il ne me fera plus le même coup.)
Pendant que je rattrapais le temps perdu ce matin, Stef faisait ses mèches. Charmant tableau, je vous assure! Au moins le résultat est très bien.
Début d'après-midi. Stef prend une pilule contre les allergies et s'endort presque immédiatement. J'en profite pour aller prendre une marche, recharger mon crédit de téléphone cellulaire (tous mes tests et déconnages m'ont coûté mon 10 euros de crédit d'origine, oops) et magasiner les fours/grille-pains.
Le cellulaire s'est bien passé, et tout en allemand! La fille du magasin était la même à qui j'avais demandé l'autre fois si elle parlait français ou anglais -- et qui m'avait référé à un autre commis sur-le-champ. C'est peut-être pour ça que j'étais un peu surpris que tout se soit si bien passé. Chose certaine, finis les déconnages sur le cellulaire, ça coûte trop cher!
Four/grille-pain maintenant. Ya un magasin d'électroménagers juste à côté du Wertheim, du nom de Quelle ("source"). J'en vois un cheapo à 20 euros, un potable à 70 euros, un pas pire à 110 et un super king à 140 euros. Le 70 semble OK. Je vais voir au Wertheim, juste pour le fun.
Ho ho, qu'avons-nous là?
Le modèle à 70 euros, réduit à 50! Les coquins du Wertheim avaient le prix original à 80 euros, par contre. Tsk tsk!
Satisfait de mon boulot d'éclaireur, je rentre au bercail, et je m'emmerde dans la job depuis ce temps-là. Vous avez un autre roman aujourd'hui, donc pas besoin de vous demander si la job est palpitante!
On va donc essayer d'aller au IKEA demain (ya quelques magasins de meubles et rénos à côté, question de compléter ce que IKEA n'offre pas, je suppose). Si ya rien de bon, on va jeter notre dévolu sur celui que vous voyez ici.
Pas de péripéties rocambolesques aujourd'hui, désolé. Et un très mince prétexte pour ajouter une photo, je l'avoue, haha.
P.S.: Shit, je viens d'y repenser. On avait promis des photos de l'appart. OK, la job recommence à me tomber dessus, donc une prévision réaliste serait quelque part en fin de semaine. Patience, ça s'en vient!
Beuh-bye!
mardi 9 septembre 2008
Bureaucratie, beau temps et beaucoup de monde!
Hey hey,
Il a fait très beau aujourd'hui. Alors, quoi de mieux que d'aller se faire chier chez les bureaucrates? Eh oui, aujourd'hui on devait aller chercher notre Anmeldung (inscription au registre de la ville) à l'hôtel de ville de Schöneberg, à environ 15 minutes de marche. Je suis déjà passé par là (à celui de Charlottenburg, par contre), vu que toute personne résidant à Berlin doit s'inscrire. Voici mon compte-rendu de l'an dernier -- je l'ai relu, et je pense que c'est plutôt divertissant. Jetez-y un coup d'oeil!
Les heures d'ouverture sont étranges. Le lundi, ça ouvre à 8 h, le mardi à 11 h. L'oeil encore vif, ne sachant ce qui nous attend, nous quittâmes notre douillet appartement vers 10 h 45.

Une coccinelle multicolore. Dès que je l'ai vue, j'ai dit à Stef : "OK, ça je le prends en photo."

Une façade. J'ai dit la même chose à Stef en passant devant. Les photos des rues que j'ai prises ne sont pas terribles par comparaison, donc ça va attendre un peu. Patience, jeunes Jedis.

Oh oh oh, ils ne m'ont pas encore pogné!
Nous arrivons donc à l'hôtel de ville. "Einwohnermeldeamt" (Einwohner = Habitant, melden = s'inscrire, amt = bureau) ou "Meldestelle" (stelle = emplacement) sont les noms des bureaux qui peuvent nous aider. OK, nous avons "Bürgeramt/Meldestelle"... à gauche.
On entre dans une salle pleine de fenêtres, pleine aussi de chaises et avec beaucoup de monde, mais quand même paisible. Le comptoir d'inscription se trouve à gauche. La femme ne perd pas de temps et me donne le formulaire et un numéro. Je me retourne et vois le même genre de tableau que l'an passé. On est rendus à 107. Notre ticket... 153.
On s'asseoit. Ça avance vraiment pas vite. Une idée de fou nous prend. Et si j'allais chercher le cellulaire à Stef? (J'avais déjà le mien.) Comme ça l'un de nous deux pourra attendre dehors et on s'avertira par SMS lorsque notre tour arrivera. OK, ça me fait une excuse pour prendre une marche. Faut flyer, par contre, parce que ça s'est mis à défiler sur le tableau, et on est rendus à 120.
Pour flyer, j'ai flyé. J'ai aussi vu un autobus passer sur la rue, donc je vais le prendre en revenant et sauver du temps. J'arrive à l'appart, prends le téléphone, ressors et reviens sur la Martin-Luther-Strasse. J'arrive à un stop, à environ 200 pieds de l'arrêt. Que vois-je à côté de moi? Le %!&*? d'autobus! Sprint jusqu'à l'arrêt, j'arrive ben juste.
Le bus arrête devant l'hôtel de ville. Je traverse le parking, profitant de la petite brise pour me rafraîchir. Je retontis dans la salle... Numéro 130. Fuuuuuuck. Me suis grouillé pour rien. On décide d'aller se promener un peu dans le coin. Petit dîner très fast food (lire : cochonneries) dans un casse-croûte à patates -- j'ai vu trop tard la boulangerie l'autre côté de la rue, grrr -- et ensuite on rentre de nouveau. ENFIN, notre tour arrive.
La femme qui s'occupait de notre dossier parlait pas un mot de français ou d'anglais, mais elle était quand même gentille et on s'en est bien sortis. Sauf que, détail que j'ignorais, fallait se désinscrire de l'appartement l'an dernier. Oops, désolé. Pas grave, me dit-elle. Tout est réglé deux minutes plus tard. Après quelques minutes, on ressort avec nos belles (oui oui, c'est féminin) Anmeldungen (oui oui, le pluriel prend un "-en" à la fin) en main. Maintenant je peux ouvrir un compte en banque. Prochaine étape, la domination mondiale.
On décide de prendre ça mollo pour revenir.

1,47 le litre, mais 1,47 euro! Donc environ 2 $. Selbst Tanken = Libre service.

La fontaine de la Viktoria-Luise-Platz, cette fois sous le soleil.

Le KaDeWe (Kaufhaus des Westens). Un centre d'achat à côté de la Wittenbergplatz. Si l'argent vous brûle les poches, allez-y faire un tour. Les grrrrrandes marques, à de trrrrrrès gros prix.

La Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche, près de la gare du Zoo.

L'Europa Center, tout juste à côté de l'église, sur la Breitscheidplatz. Le logo pivotant de Mercedes ne trompe pas.
Alors voilà, un autre petit roman pour vous autres. Faut croire que ça me tente vraiment pas de travailler!
Beuh-bye!
Il a fait très beau aujourd'hui. Alors, quoi de mieux que d'aller se faire chier chez les bureaucrates? Eh oui, aujourd'hui on devait aller chercher notre Anmeldung (inscription au registre de la ville) à l'hôtel de ville de Schöneberg, à environ 15 minutes de marche. Je suis déjà passé par là (à celui de Charlottenburg, par contre), vu que toute personne résidant à Berlin doit s'inscrire. Voici mon compte-rendu de l'an dernier -- je l'ai relu, et je pense que c'est plutôt divertissant. Jetez-y un coup d'oeil!
Les heures d'ouverture sont étranges. Le lundi, ça ouvre à 8 h, le mardi à 11 h. L'oeil encore vif, ne sachant ce qui nous attend, nous quittâmes notre douillet appartement vers 10 h 45.
Une coccinelle multicolore. Dès que je l'ai vue, j'ai dit à Stef : "OK, ça je le prends en photo."
Une façade. J'ai dit la même chose à Stef en passant devant. Les photos des rues que j'ai prises ne sont pas terribles par comparaison, donc ça va attendre un peu. Patience, jeunes Jedis.
Oh oh oh, ils ne m'ont pas encore pogné!
Nous arrivons donc à l'hôtel de ville. "Einwohnermeldeamt" (Einwohner = Habitant, melden = s'inscrire, amt = bureau) ou "Meldestelle" (stelle = emplacement) sont les noms des bureaux qui peuvent nous aider. OK, nous avons "Bürgeramt/Meldestelle"... à gauche.
On entre dans une salle pleine de fenêtres, pleine aussi de chaises et avec beaucoup de monde, mais quand même paisible. Le comptoir d'inscription se trouve à gauche. La femme ne perd pas de temps et me donne le formulaire et un numéro. Je me retourne et vois le même genre de tableau que l'an passé. On est rendus à 107. Notre ticket... 153.
On s'asseoit. Ça avance vraiment pas vite. Une idée de fou nous prend. Et si j'allais chercher le cellulaire à Stef? (J'avais déjà le mien.) Comme ça l'un de nous deux pourra attendre dehors et on s'avertira par SMS lorsque notre tour arrivera. OK, ça me fait une excuse pour prendre une marche. Faut flyer, par contre, parce que ça s'est mis à défiler sur le tableau, et on est rendus à 120.
Pour flyer, j'ai flyé. J'ai aussi vu un autobus passer sur la rue, donc je vais le prendre en revenant et sauver du temps. J'arrive à l'appart, prends le téléphone, ressors et reviens sur la Martin-Luther-Strasse. J'arrive à un stop, à environ 200 pieds de l'arrêt. Que vois-je à côté de moi? Le %!&*? d'autobus! Sprint jusqu'à l'arrêt, j'arrive ben juste.
Le bus arrête devant l'hôtel de ville. Je traverse le parking, profitant de la petite brise pour me rafraîchir. Je retontis dans la salle... Numéro 130. Fuuuuuuck. Me suis grouillé pour rien. On décide d'aller se promener un peu dans le coin. Petit dîner très fast food (lire : cochonneries) dans un casse-croûte à patates -- j'ai vu trop tard la boulangerie l'autre côté de la rue, grrr -- et ensuite on rentre de nouveau. ENFIN, notre tour arrive.
La femme qui s'occupait de notre dossier parlait pas un mot de français ou d'anglais, mais elle était quand même gentille et on s'en est bien sortis. Sauf que, détail que j'ignorais, fallait se désinscrire de l'appartement l'an dernier. Oops, désolé. Pas grave, me dit-elle. Tout est réglé deux minutes plus tard. Après quelques minutes, on ressort avec nos belles (oui oui, c'est féminin) Anmeldungen (oui oui, le pluriel prend un "-en" à la fin) en main. Maintenant je peux ouvrir un compte en banque. Prochaine étape, la domination mondiale.
On décide de prendre ça mollo pour revenir.
1,47 le litre, mais 1,47 euro! Donc environ 2 $. Selbst Tanken = Libre service.
La fontaine de la Viktoria-Luise-Platz, cette fois sous le soleil.
Le KaDeWe (Kaufhaus des Westens). Un centre d'achat à côté de la Wittenbergplatz. Si l'argent vous brûle les poches, allez-y faire un tour. Les grrrrrandes marques, à de trrrrrrès gros prix.
La Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche, près de la gare du Zoo.
L'Europa Center, tout juste à côté de l'église, sur la Breitscheidplatz. Le logo pivotant de Mercedes ne trompe pas.
Alors voilà, un autre petit roman pour vous autres. Faut croire que ça me tente vraiment pas de travailler!
Beuh-bye!
S'abonner à :
Messages (Atom)