Meh, bleh, bof

Hey hey,

Pas grand chose à raconter aujourd'hui. Stef file pas -- grosse fièvre, mal partout, etc. -- et je suis resté planqué ici après le gym anyway. Juste sorti pour aller chercher des médicaments et des kebabs (hmm, kebabs) pour souper. La température reste nulle, donc rien de motivant anyway. Au moins, le plombier va venir demain midi pour réparer (changer) la pomme de douche.

À part ça, uh... rien. Ah oui! Le phénomène météo que nous traversons s'appelle Schafskälte (le froid des moutons), parce que c'est seulement après cette vague de froid qu'on peut les tondre sans risquer qu'ils tombent malades. Ou quelque chose du genre.

On en apprend des choses, hein?

Ah oui, aussi au gym ce matin. De temps en temps y a une fille qui prend le bicycle à côté de moi (et qui fait du bicycle aussi, imaginez-vous donc). D'habitude, on se salue, sans plus. Ce matin, elle me dit quelque chose par rapport à la température. Shit, je suis pas sûr d'avoir compris. Vient alors l'éternelle phrase que je déteste, comme de quoi je parle pas très bien allemand, blah blah. Qu'est-ce que je parle, d'abord? Uh, ben, anglais, français, espagnol?

"Ah, mais je suis Française!", me dit-elle. Ah ben eille!

On a donc placoté le reste du temps. Elle habite Berlin depuis 19 ans, et elle est déjà venue au Québec durant 6 semaines ya quelques années (et a bien aimé). Elle s'appelle Clarisse. Ça m'a fait immédiatement penser à cette scène du Silence des Agneaux (voir à 1:05). Good evening, Clariiiiice. *frissons*

Fa que, uh, ben, c'est ça. Vraiment pas grand chose d'autre à dire, à part radoter. Quand Stef ira mieux, je vous montrerai probablement son plus récent achat. En attendant, allez donc revoir la petite super-cute dans la mise à jour d'hier!

Beuh-bye!