Petite promenade

Hey hey,

Aujourd'hui, nous sommes donc allés à la Neue Nationalgalerie, près de Potsdamer Platz.


Une sculpture pas trop loin du Sony Center. Aucune idée de ce qu'elle signifie.


Hmm, une publicité contre le SIDA. Le nom en bas de l'affiche me dit quelque chose...


Ahhhh! Noooooooonnn!!! Pas l'ancien défenseur du Canadien! (Demandez aux fans ce qu'ils pensent de lui, juste pour le fun...)

On entre dans le bâtiment. Joli, c'est grand en masse. Climatisé, surtout. Heureusement, parce qu'il faisait chaud et humide en maudit.

Je m'étais promis de prendre au moins une photo, mais ouf... leurs chiens de garde étaient aux aguets! Au moins une personne par salle, et on était presque toujours à vue d'au moins un garde. J'avais pratiquement abandonné, jusqu'à ce que je ramasse dans un racoin avec des peintures de Joan Miró...


CLICK! C'est embrouillé, mais c'est pour le principe.

Dans l'ensemble, l'exposition était malheureusement un peu décevante. Il y avait beaucoup de peintures de Miro, ce qui a presque sauvé la mise, mais pratiquement rien de Dali et une seule misérable peinture de Jackson Pollock, même si les deux sont mentionnés en premier plan dans la présentation. En plus, la peinture de Pollock (Icare) n'est même pas dans sa phase "principale" (technique du dripping), celle pour laquelle il est connu.

Mais, au moins, on a fait deux trouvailles dans la boutique du musée. Un catalogue d'une exposition montrée en 2007, et un livre sur les principaux bâtiments de Berlin. Respectivement, ils auraient dû coûter environ 35 et 20 euros. On a payé 5 euros chaque! Yay!

Donc, ne serait-ce que pour cette raison, l'exposition a été un succès.

On sort.


Stef a oublié ses lunettes, donc je lui prête mes vieilles Bollé toutes maganées. Je me réserve les flambant neuves, ho ho (je garde les 2 sur moi, parce que je m'attends à ce que mes vieilles me pètent dans la face à tout moment).

Ensuite, dîner au resto de nouilles à Charlottenburg, détour à l'épicerie espagnole juste à côté, retour à l'appart. Début de soirée, notre amie Sophie a besoin d'un coup de main pour aller chercher un matelas (eh?). Ça a pris 90 minutes pour aller le chercher, et le ramener chez elle, un 4e étage sans ascenseur. Ughhhh, on pissait de partout quand on est revenus. Je vous le dis, depuis qu'on est ici, petit à petit on s'achète notre terrain au ciel! On est donc revenus vers 8 h 30, souper, et tentative de travailler depuis ce temps. Demain, c'est 100 % job, j'ai plus suffisamment de marge de manoeuvre.

Alors voilà.

Beuh-bye!