jeudi 4 décembre 2008

Parlons de ce qui est intéressant...

... donc, pas de ce qui s'est passé aujourd'hui (job, ménage, lavage, vidage de valises).

Hey hey,

On a tellement de stock pour vous autres, qu'on a décidé de séparer ça en une ville par jour. Aujourd'hui, on retourne à Ronda. Possible qu'il y ait des répétitions de photos déjà montrées. Vous aurez à endurer, pauvres de vous. Donc...

RONDA

C'est l'imposante montagne qu'on voit de partout à l'intérieur de Marbella. Elle est au nord, donc c'est facile de s'orienter (pas que ce soit une grosse ville, mais en tout cas...). Sauf dans la vieille ville. Là, on la voit pas. (Duh.)


Partout sur la route, on voit des villages pousser comme des champignons. Faut alimenter l'usine à touristes. D'ailleurs, plusieurs de ces nouveaux condos ont été construits "très rapidement et très mal". C'est plutôt bien documenté comme phénomène : un de mes colocs de 2006, un Allemand (Rudolf Bogatz, un bien chic type) m'en avait parlé le premier, il l'avait lu dans un magazine économique allemand ("sehr schnell, und sehr schlecht" furent ses mots).


Ça a beau être bâti comme de la marde, de loin ça reste agréable à regarder.

Vous ne me croyez pas? Cliquez-moi!


Clignez pas des yeux trop fort, ça pourrait s'écrouler.


Ah oui, y avait eu de la neige dans le secteur récemment. Stef en a vu par terre sur le chemin (quand elle n'était pas occupée à spotter les carcasses de voitures).


On arrive bientôt.


On débarque, on fait quelques minutes dans des petites rues pour arriver à l'église de la Plaza de la Merced. Naturellement, elle n'est même pas sur Google Maps. Disons que c'est environ à 200 pieds de l'Alameda del Tajo.


Vue du belvédère sur l'Alameda.


Et une autre.


Et encore une autre.


Êtes-vous tannés?


Ben endurez-en une autre!

On continue sur la rue Virgen de la Paz (vous suivez sur la map, j'espère?), et on arrive à la Plaza de Toros.


L'entrée est hors champ, à gauche.


Bon, la voici.


C'est, après dîner, à partir d'ici que Stef m'a attendu dans le café, et que je suis parti sur ma trotte.


Vous l'avez vu hier. Admirez encore une fois. Je viens de traverser le Pont nouveau.


Ça aussi, vous l'avez vu.


Je suis maintenant dans le paquet de petites rues près de la Calle de Arminian.


Voici le mur arabe, qui donne sur la Calle Imagenes.


La partie droite du mur.


En revenant sur mes pas.


Hmm-mmm.


Ils se débrouillent bien avec la céramique, faut leur donner ça.


Encore dans une petite rue quelconque.


Vue de sur le pont (que j'ai dû retraverser pour revenir, imaginez-vous donc).

Je retrouve Stef, et on reprend le chemin du retour par les mêmes rues que plus tôt.


Au moins plusieurs sont piétonnières.


Pas trop loin de la station d'autobus. C'est quelques minutes qu'on a eu notre mauvaise surprise, comme de quoi l'autobus partait plus tard et qu'on s'était dépêchés pour rien.

On est tellement avenants qu'on a documenté ça pour vous autres! Cliquez-moi!


"Ronda ville de rêves" -- il y avait quelques autres murales comme ça à la station d'autobus.
C'est pas faux, l'été c'est vraiment agréable. Mais l'hiver? Whoaaaa!

Alors voilà, demain? Malaga! Et aussi gym, job, etc.

Beuh-bye!

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